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Guide « ePortfolio & Web 2.0 »

La Webschool de Tours et ses partenaires viennent de publier un guide pratique pour la réalisation de son e-portfolio. Son but est d’aider à valoriser ses compétences, à développer une identité numérique professionnelle, et à utiliser les réseaux pour se faire connaître. Pour ce qui concerne la réalisation pratique d’un portfolio, le guide s’appuie massivement sur les outils Google (GMail, Google Site, Google Docs).

Le guide s’articule autour de 3 grandes étapes de la réalisation d’un portfolio :

  1. Ce que j’ai fait, ce que je sais faire ;
  2. Je construis mon eportfolio ;
  3. Je diffuse mon profil.

Coordonné par Rémi Lévy, rédigé en collaboration avec Hervé Breton et illustré par Adeline Bertrand, le guide a été réalisé dans le cadre du projet Employabilité 2.0, grâce à un cofinancement de l’Union Européenne/FSE.

Le guide est gratuit et peut être téléchargé au format PDF. Saluons le fait qu’il soit diffusé sous licence Art Libre (Qu’est-ce qu’autorise la Licence Art Libre ?).

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A propos

Bienvenue ! Ce site est édité par une équipe de formateurs du Greta du Velay, dans le but de mieux faire connaître l’e-portfolio, version électronique du portefeuille de compétences. Vous êtes invités à contribuer à son contenu.

Articles récents

Le portfolio européen des langues

Le portfolio européen des langues est un document qui réunit des connaissances linguistiques acquises ou en cours d’acquisition ainsi que des expériences culturelles.

Son intérêt est notamment de valoriser tous les acquis aussi minimes soient-ils : il n’est pas nécessaire d’attendre de maîtriser toutes les compétences du Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL) pour les inscrire dans son portfolio. Un autre intérêt est que chaque expérience linguistique mais aussi culturelle y trouve sa place.

Une grille d’évaluation permet de mentionner ses capacités de compréhension et d’expression, à l’oral comme à l’écrit. En donnant un état précis des capacités langagières et culturelles, le portfolio motive l’apprenant à diversifier ou poursuivre ses apprentissages linguistiques. Il lui permet de visualiser ses compétences, de définir de nouveaux objectifs et de réfléchir à la manière d’y parvenir. Les portfolios sont adaptés à l’âge des apprenants (modèle école primaire, collège, lycée et adultes). Des fiches supplémentaires peuvent être ajoutées. Sous le thème « Mon profil plurilingue » ou encore « Comment j’apprends ?», elles rendent l’apprenant encore plus actif dans la gestion de ses apprentissages.

Certains pays, comme l’Irlande proposent des modèles adaptés aux situations des apprenants. C’est ainsi qu’a vu le jour le portfolio pour « des immigrés adultes arrivés depuis peu et apprenant la langue du pays d’accueil » ou encore pour « des immigrés adultes qui se préparent pour la formation professionnelle du pays d’accueil et pour un emploi. »

Le portfolio européen des langues comporte trois documents, le passeport de langues, la biographie langagière et le dossier.

Dans le passeport, l’apprenant va déterminer son profil des compétences en langues en relation avec le Cadre européen commun, rédiger un résumé de ses expériences linguistiques et interculturelles et établir une liste de ses certificats et diplômes.

« La biographie langagière est organisée de façon à favoriser l’implication de l’apprenant dans la planification de son apprentissage, dans la réflexion sur cet apprentissage et dans l’évaluation de ses progrès ; elle donne à l’apprenant l’occasion d’établir ce qu’il/elle sait faire dans chaque langue et de mentionner les expériences culturelles vécues dans le contexte éducatif officiel ou en dehors de celui-ci ; elle est organisée en vue de la promotion du plurilinguisme.

Le Dossier offre à l’apprenant la possibilité de sélectionner des matériaux qui lui serviront à documenter et à illustrer ses acquis ou les expériences mentionnées dans la Biographie Langagière ou le Passeport. » Extrait du site du Conseil de l’Europe.

Sur le site du Cedefop, il est possible de compléter le supplément langues de l’Europass en ligne ou bien de télécharger le formulaire.

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41 bénéfices d’un eportfolio

Un article de Karen Stable liste (en anglais) une quarantaine de « bénéfices » de faire un eportfolio. L’auteur compte arriver à 101 arguments, et attend donc vos propositions !

La liste est organisée selon les bénéfices acquis par le créateur, le formateur, et l’employeur. Pour chacun d’eux les arguments concernent les apports du processus (faire un eportfolio) et ceux du résultat (l’eportfolio).

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Netiquette, comportements sur Internet et portfolios

Lors du 8ème forum e-culture organisé à Lausanne, le 8 septembre 2009, Gilles Monnat et Kaosmovie ont réalisé, à partir d’interviews des participants, le film Netizenship, pour la fondation Ynternet.org. Il aborde la question des comportements souhaités et refusés sur internet, du partage et de la création commune et contient également des témoignages sur l’e-portfolio en relation avec l’identité numérique.


Netizenship

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La culture de l’internet : questionnaires d’auto-évaluation

Nos amis de la fondation Ynternet.org, en Suisse, contribuent au développement d’une culture numérique de responsabilité et de partage dans des conditions éthiques. En plus des forums e-cultures qu’ils organisent chaque année sur des thèmes contribuant à la constitution d’une culture numérique (Netizenship en 2010, Copyleft en 2009, e-insertion en 2008, compétences e-culture en 2007…) et permettant à des participants de différents horizons de croiser leur expérience et leurs réflexions, ils ont élaboré, en partenariat, le site Quizzeculture. Il propose trois questionnaires d’autoévaluation du niveau d’e-culture sur trois thèmes :

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Internet, an acceleration factor in informal lifelong learning?

Hier (le vendredi 15 janvier 2010), a été mis en ligne un article de Bénédicte Branchet et de Nicolas Jullien consacré au rôle que peut avoir Internet dans l’apprentissage informel tout au long de la vie.

Résumé de l’article (en anglais) :

« IT technologies are said to make access to learning easier and cheaper. Virtually all theoretical knowledge is available in one form or another on the web, with possibilities for beginners as well as, in certain cases, for extremely sophisticated users. This availability throws into question the way we learn, especially the younger generation, those having been born with these technologies. This article contributes to this debate, surveying an undergraduate population of 139 students on their learning strategies regarding not only academic theoretical knowledge, as it is traditionally analyzed, but also by studying the different kinds of knowledge that is accessible on the Internet (non-academic theoretical, as well as hands-on learning in all of its varied forms). Data analysis techniques allow us first to identify four structuring factors of online informal learning in relation with Internet use and then to propose a typology of learning behaviors that thus allows us to show the impact of Internet use. We show that Internet use seems to create “multiplier” effects on online informal learning and that this phenomenon is greater for hands on knowledge learning than for theoretical knowledge learning for the student’s studies or outside of their studies. »

L’article est disponible en ligne sur le site web de la Social Science Research Network.

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